Le PSG le pousse dehors, il prend une décision radicale pour son avenir
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

Passé à deux reprises à la tête du secteur sportif au PSG, Leonardo a été démis de ses fonctions en mai 2022 et se fait très discret depuis. L’ancien Parisien et Milanais ne devrait donc pas être de la partie ce mercredi pour le match entre ses deux anciens clubs, lui qui aurait les idées claires pour son avenir.

Si le PSG sort d’un été mouvementé marqué par le lancement d’une nouvelle étape du projet QSI avec un gros turn-over effectué dans l’effectif et l’arrivée de Luis Enrique sur le banc, un premier tournant a eu lieu dès l’année dernière avec la sortie de Leonardo, actée après la volonté du PSG de refondre son organigramme et de faire appel à LuisCampos, proche du clan Kylian Mbappé qui acceptait de renouveler son bail.

Leonardo se fait discret depuis son départ du PSG

Poussé dehors, Leonardo se fait depuis très discret. Comme l’explique Le Parisien dans ses colonnes du jour, il semble impensable de voir l’Italo-brésilien présent dans les travées du Parc des Princes ce mercredi soir pour la rencontre entre le PSG et l’AC Milan, les deux grands clubs de sa carrière de footballeur et de dirigeant. Leonardo est désormais loin de Paris, vivant à Milan avec sa famille.

Pas de retour comme directeur sportif ?

« Tout va bien, merci. On se parle plus tard », a simplement répondu l’ancien dirigeant du PSG au Parisien, laissant ainsi planer le doute sur sa situation professionnelle et son avenir. D’après le quotidien francilien, Leonardo aurait en tout cas assuré en privé qu’il ne s’imaginait plus occuper la fonction de directeur sportif à l’avenir, estimant que « le métier a évolué » et que la politique sportive de la plupart des cadors européens est désormais pilotée par des « boards », et non un seul responsable. Reste à voir ce qu'il réserve donc pour la suite...

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