Dans les colonnes du 10 Sport actuellement en kiosque, on apprend qu'un nouveau malaise Marquinhos serait en train d'apparaître doucement dans le quotidien du Camp des Loges.
Depuis le début de saison, Laurent Blanc est parti sur un schéma type pour sa défense : Maxwell arrière gauche, David Luiz et Thiago Silva en charnière centrale, et Serge Aurier, revenu à un très bon niveau cette saison, sur le côté droit. Dans cette configuration « premium », point de Marquinhos. Certes, avec les aléas des blessures, des suspensions et de l’accumulation des matches, le défenseur brésilien va jouer. Mais le début de saison du PSG laisse clairement dessiner une défense type à laquelle il n’appartient pas, ce qui aujourd’hui parait lui fermer la porte des grandes rencontres européennes de la saison.
IL COMMENCE À MAL VIVRE SA SITUATION
Selon des indiscrétions de proches du joueur, Marquinhos commencerait à vivre très difficilement cette situation. Le malaise serait déjà perceptible, et il pourrait grandir dans les prochaines semaines si rien ne change. Il faut dire que Marquinhos ne manque pas d’arguments pour exprimer un mécontentement.
CHELSEA A OFFERT 42 MILLIONS EN AOÛT
Marquinhos, selon certaines indiscrétions, aurait reçu l’engagement de Laurent Blanc que s’il ne jouait pas régulièrement dans les premières semaines de la saison, il se verrait octroyer un bon de sortie avant la fermeture du mercato estival. Or il n’en a rien été lorsque la question s’est ouvertement posée dans les quinze derniers jours du marché. Selon nos informations, le Paris Saint-Germain a pourtant reçu une offre concrète pour Marquinhos. Chelsea a en effet proposé 42 millions d’euros pour le défenseur brésilien. Nasser Al-Khelaïfi, dit-on, n’aurait même pas regardé cette proposition. Marquinhos aurait mal vécu cet épisode, qui aurait égratigné la confiance qu’il voue à son coach et au club. De source proche du joueur, on glisse d'ailleurs que la question de son départ pourrait rapidement se poser avec beaucoup plus d’acuité si rien ne change. A.B. et A.H.