Riolo prend la place d’Al-Khelaïfi, son plan fou pour le PSG !
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Jamais avare en critique au sujet de Nasser Al-Khelaïfi, Daniel Riolo s'est donc mis à sa place. Invité à dévoiler sa stratégie s'il devenait président du PSG, le journaliste de RMC dévoile ainsi son projet qui consiste notamment à arrêter de surpayer des stars en optant pour une politique globale et fixe.

Depuis quelques années, Daniel Riolo a une cible claire au PSG : Nasser Al-Khelaïfi. Le journaliste de RMC ne manque jamais une occasion de critiquer le président du club de la capitale et la façon dont il gère le PSG, mais également son omniprésence dans le football français. Par conséquent, Daniel Riolo a été invité à dévoiler son projet si jamais il devenait président du PSG.

Riolo dévoile son projet pour le PSG

« Le premier aspect, c’est le rôle du président à l’intérieur du foot français. Je considère que je ne suis pas tout seul dans mon championnat et que mon but n’est pas de l’écraser, mais de faire en sorte qu’il soit concurrentiel pour le valoriser. Il faut une entente entre les acteurs du championnat pour créer une compétitivité forte, comme en Espagne ou en Angleterre, où on se fait la guerre sur le terrain mais où il y a une volonté de faire grandir la ligue », lâche-t-il dans le podcast animé par Johan Djourou, avant de poursuivre.

«On n'envoie pas de l’oseille dans tous les sens»

« Pour la gestion de mon club, j’essayerais de définir une politique globale. […] J’opterais pour une ligne. Pas un coup des stars mondiales, puis l’inverse après. Et s’il y a des stars, je n’accepte pas tout. On n'envoie pas de l’oseille dans tous les sens en faisant en sorte qu’ils ne veuillent pas partir. C’est l’un des gros soucis du club sur les dernières années. Moi, je ne retiendrais personne. Tu veux partir, on trouve un club et on discute. Et quand je fais venir un joueur, on ne le surpaye pas pour de mauvaises raisons. Ce serait une bonne base pour la politique sportive sur le long terme », ajoute Daniel Riolo.

Articles liés