Sous contrat jusqu’en juin 2026 avec le PSG, Gianluigi Donnarumma n’a toujours pas prolongé au sein du club parisien. Une situation compliquée, alors qu’aucun accord n’a encore été trouvé entre les deux parties. Pour David Gluzman, les négociations sont compliquées pour Paris, d’autant que le gardien italien est en position de force.
Le PSG pourrait connaître une situation compliquée avec Gianluigi Donnarumma. En fin de contrat en juin 2026, le gardien italien l’a toujours affirmé : sa volonté première est de poursuivre l’aventure au sein du club parisien. Cependant, alors que ses exigences salariales ne conviennent pas aux dirigeants pour le moment, les négociations sont complexes.
« Le PSG n’est pas en position de force dans les négociations »
Pour le journaliste David Gluzman, le principal problème de ce dossier réside dans le fait que le PSG n’est absolument pas en position de force avec Donnarumma. « C’est le 8ème salaire du PSG. Donc je comprends totalement qu’il ait des ambitions salariales élevées. Je comprends totalement qu’il rejette la stratégie salariale de Luis Campos qui consiste à plus valoriser les primes de compétitivité. J’ai peur justement que ça devienne une épine dans le pied du PSG. Le PSG n’est pas en position de force dans les négociations », a confié ce dernier au micro de l’After Foot.
« Eux ils seraient capables de lui offrir un gros salaire »
« Sur les six derniers mois, il n’y aurait pas eu de Ligue des Champions, il y a une progression dans le leadership, il y a une progression dans la prise de décisions. Il y a énormément de défauts qui ont été gommés. Là il a 26 ans, il en a pour sept huit ans au plus haut niveau, il a douze mois de contrats, il y a plusieurs clubs comme Chelsea qui sont sur lui où le recrutement d’un gardien de haut niveau c’est peut-être le dernier domino pour aller challenger le titre en Premier League… Eux ils seraient capables de lui offrir un gros salaire. Un Donnarumma qui est donc en position de force », conclut David Gluzman.