Il vit «l'enfer» au PSG, c'est terminé !
Thomas Bourseau
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Rédacteur
Féru de sport, Thomas a grandi entre le ballon rond du football et le orange du basket, ses deux coups de cœur depuis toujours. Diplômé d’un Master et d’une Licence à l’Institut Européen du Journalisme de Paris, il suit toujours de très près les aventures d’Arsenal et des Los Angeles Lakers.

Au terme de sa douzième saison passée au PSG, Marquinhos a enfin pu célébrer le tant attendu sacre du club de la capitale en Ligue des champions. Le 31 mai dernier fut le jour de gloire pour le Brésilien qui avait « tout donné » comme confié aux caméras de Canal+ sur la pelouse. La fin du calvaire aux yeux d'Antoine Kombouaré.

On ne peut pas dire que Marquinhos n'ait vécu que des moments couronnés de succès depuis qu'il a intégré le vestiaire du PSG en 2013. Certes, il y a les innombrables trophées nationaux et le record d'apparitions sous le maillot parisien chipé à Jean-Marc Pilorget et ses 435 matchs, mais aussi les multiples désillusions européennes.

«J'étais heureux pour Marquinhos qui avait vécu l'enfer de la remontada»

Avant le sacre du 31 mai dernier à l'Allianz Arena de Munich contre l'Inter (5-0), Marquinhos a vécu la remontada de Barcelone en 2017, la chute contre Manchester United en 2019, la finale de Ligue des champions perdue pendant le Final 8 de 2020 ou encore la furie de Karim Benzema qui qualifiait le Real Madrid grâce à un triplé en 2022. Tout ça, Antoine Kombouaré l'a suivi en tant qu'observateur et ancien parisien qui n'a pas perdu son affection pour son ancien club. « J'ai pleuré au stade et je l'assume. Quand j'ai vu ces gamins courir dans tous les sens pour s'embrasser... J'étais heureux pour Marquinhos qui avait vécu l'enfer de la remontada ».

«J'ai dit quelques mots à Luis Enrique et Nasser»

Passé sur le banc du PSG un an et demi avant la signature de Marquinhos, Antoine Kombouaré a partagé au Parisien son moment de communion avec les joueurs du Paris Saint-Germain vainqueurs de la Ligue des champions en Allemagne au printemps dernier. « J'ai pu descendre sur la pelouse ensuite. J'ai dit quelques mots à Luis Enrique et Nasser (ndlr Al-Khelaïfi). On était tous Parisiens ».

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