Javier Pastore, entré à la pause du quart de finale de la Coupe de France entre le PSG et Lyon (1-3), n’a pas franchement apporté. Qu’il se rassure, loin du terrain, son rôle est peut-être plus important.
Repassé en 4-3-2-1 lors du quart finale de Coupe de France devant Lyon après avoir testé le 4-4-2 (puis le 4-2-3-1) à Caen, Carlo Ancelotti n’a pas réussi son coup. L’entraîneur du PSG avait d’ailleurs décidé de faire souffler Javier Pastore et ne l’a fait entrer en jeu qu’à la pause à la place de Milan Bisevac. « El Flaco » n’a pas apporté le coup de rein nécessaire pour renverser la vapeur et a même manqué une belle occasion dans la surface (62e). Sur le terrain, donc, Pastore ne fait plus la différence malgré son but chanceux face à Caen (2-2). Pas grave, il se rattrape en étant très utile… à l’économie !
« Il consomme et paye ses impôts chez nous » Selon Jean-Pierre Louvel, président du syndicat des clubs, l’arrivée des Qataris au PSG et de stars comme Pastore est une excellente chose pour rebooster ce domaine. « De belles âmes critiquent l’arrivée des Qatariens au PSG. Moi, je dis : heureusement qu’ils sont là, car cela fait revenir des stars, affirme celui qui est également président du HAC. Pour ma part, je préfère cent fois que le Qatar investisse en France plutôt qu’en Angleterre. Des joueurs comme Pastore font vivre l’économie. Il consomme chez nous, il paye ses impôts chez nous. Ça n’est pas le cas avec d’autres sports, comme le tennis ou la Formule 1 ». Qu’en pense Jo-Wilfried Tsonga ou Romain Grosjean ?