PSG, la vraie raison de la crise de Cristiano Ronaldo ?
La rédaction

Cristiano Ronaldo a juré que sa tristesse au Real Madrid n’était pas causée par l’argent. Mais en Espagne, les hypothèses convergent presque toutes vers ce même point. Et Paris n’est jamais très loin.

Cristiano Ronaldo fait toujours autant parler de lui en Espagne. Même si les éliminatoires de la Coupe du monde ont remplacé sa crise dans l’actualité sportive de la semaine, il n’empêche que nos confrères ibériques s’occupent toujours de trouver la véritable raison de la tristesse de la star portugaise du Real Madrid. Et l’un d’entre eux, le dénommé Josep Pedrerol, semble avoir découvert le pompon. D’après lui, célèbre journaliste qui présente l’émission phare de débats « Punto Pelota », le PSG aurait fait tourner la tête de Ronaldo !

Pedrerol connaît ses dossiers Ancien de la maison Canal+ Espagne (pendant 14 ans) et de la radio Cadena Ser (il y a débarqué à 19 ans), Pedrerol ne semble avoir aucun intérêt à balancer une telle information. Pourtant, il l’a fait et le site officiel de Punto Pelota en a même fait sa UNE ce vendredi (voir le lien ici) ! Sur celui-ci, on peut y lire : « Au Real, ils pensent que sa réaction est spontanée mais ils ont quand même quelques soupçons. Il y a quelque chose qui ne colle pas, selon eux. Ils ont la sensation que Cristiano a reçu une offre très importante qui l’a fait changer. A Madrid, ils pensent tous qu’elle provient du Paris Saint-Germain. Du coup, ils veulent le faire parler mais s’ils n’y arrivent pas, il pourrait le faire vie un communiqué ».

Concomitance avec le tacle de Mourinho sur le PSG ? Faut-il voir ici une concomitance entre cette information et la sortie musclée de José Mourinho ce jeudi dans une référence à peine voilée au PSG ? Pour rappel, la revoici : «Madrid, Barcelone, Munich. Ces clubs-là sont uniques. Les titres, les Coupes d’Europe, la légende, les histoires, les fans… ce sont des choses que l’on ne peut pas acheter. Platini a dit qu’il allait appliquer le fair-play financier. Cela rendra difficile la gestion pour les clubs qui ne sont pas bien structurés, même s’ils ont beaucoup d’argent en cash avec eux ». Pour l’heure, et même si Leonardo a tenté d’éteindre les premiers feux sur le dossier, le trouble est bien jeté. Et pas qu’en France.