En 2023, l’OM était frappé par une très violente crise. Tout cela avait alors commencé lors d’une réunion entre la direction olympienne et les groupes de supporters. C’est à cette occasion que ça avait complètement vrillé. Pablo Longoria avait alors été clairement pris pour cible. Des réprimandes qui ont visiblement donné lieu à une scène complètement étonnante avec le président de l’OM.
Le 18 septembre 2023 est une date qui restera dans l'histoire de l'OM. Mais peut-être pas pour la meilleure des raisons. En effet, c’est à cette date que s’est tenue la réunion entre les groupes de supporters et la direction olympienne qui a fait plonger le club phocéen dans une terrible crise. Prévue depuis un moment, cette rencontre avait complètement dérapé quand les supporters s’en était pris notamment personnellement à Pablo Longoria.
De Zerbi : Licenciement imminent, ça va bouger à l'OM ?
— le10sport (@le10sport) March 12, 2025
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« Il n’y a pas eu de menaces de mort »
Les supporters de l'OM en avaient gros sur la patate et Pablo Longoria a pris cher à cette occasion. Mais pas au point de le menacer de mort comme cela avait pu être expliqué à l’époque. En effet, pour le podcast de La Provence, un supporter présent à la réunion assure : « Il n’y a pas eu de menaces de mort comme on a pu l’entendre. Surement pas. Juste un coup de pression comme on sait le faire à Marseille ». Que s’est-il alors dit lors de cette réunion ? Ce même supporter de l’OM a ajouté : « On a évoqué plusieurs choses, dont la gestion des cas Mandanda et Payet, mais aussi ceux de Guendouzi et Sanchez. On a parlé du début de la saison, de la mauvaise qualité de jeu et de certains dossiers comme les problèmes, les féminines et le centre de formation ».
« On aurait dit un petit garçon en train de se faire gronder par des adultes »
Pablo Longoria était donc dans le collimateur des supporters de l’OM. « Et on a reproché à Longoria la politique sportive du club mais aussi de se gaver sur le dos de l’OM, de faire manger ses amis, de prendre des sous sur les transferts. Là il a répondu : « Si vous pensez que j’ai pris 1€, je quitte le club ». Il était blanc comme un linge, on aurait dit un petit garçon en train de se faire gronder par des adultes et les autres n’ont pas bronché. Il n’a pas compris qu’en tant que président, il doit imposer son autorité et nous dire de rester à notre place. Au lieu de ça, il tremble », poursuit cet interlocuteur.