Comme Mbappé, l'OM s'est fait chambrer par l'Argentine
Dan Marciano -
Rédacteur
Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.

Le 18 décembre, l'équipe d'Argentine battait la France en finale du Mondial. Les célébrations ont été l'occasion pour les joueurs sud-américains de chambrer leur adversaire. Kylian Mbappé avait été la cible préférée du gardien, Emiliano Martinez. Joueur de l'OM, Leonardo Balerdi n'a pas hésité aussi à chambrer Jordan Veretout et Mattéo Guendouzi, présents au Qatar.

L'Argentine attendait ce titre depuis 1986. La sélection de Lionel Messi a mis fin à une disette de 36 ans en battant l'équipe de France aux tirs au but. Après cette victoire obtenue le 18 décembre dernier au Qatar, certains joueurs sud-américains se sont laissé aller à quelques chambrages. Héros de cette finale, le portier Emiliano Martinez avait pris en grippe Kylian Mbappé. Absent de la liste de Lionel Scaloni, mais fervent supporter de l'Albiceleste, Leonardo Balerdi est revenu sur cette finale. 

« C’est une joie très grande pour tous les Argentins »

« C’est une joie très grande pour tous les Argentins. On en avait besoin au niveau du pays. Les gens en avaient besoin compte tenu des difficultés qu’on traverse. Tout le monde était très content. Cela va servir au foot argentin pour montrer qu’on est à la hauteur des références dans le football. On a des jeunes joueurs qui se sont faits connaître, qui ont été énormes » a confié le joueur de l'OM lors d'un entretien accordé à Jérôme Rothen sur RMC Sport.

« Si j’ai taquiné mes équipiers ? Oui bien entendu »

Le défenseur argentin ne s'est pas privé, lui aussi, de chambrer ses équipiers français à l'OM comme Jordan Veretout ou Mattéo Guendouzi. « Si j’ai taquiné mes équipiers ? Oui bien entendu mais je me suis aussi senti mal pour Jordan Veretout ou Mattéo Guendouzi. J’aurais bien aimé qu’ils gagnent eux aussi la Coupe du monde. Mais quand j’ai vu que la finale était contre l’Argentine le cœur parlé. Je voulais qu’on gagne. C’est vrai que j’ai fait quelques blagues dans le vestiaire. Celui qui a le plus souffert, c’est le docteur… » a admis Balerdi.

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