De retour de blessure, Loïc Rémy espère redonner le sourire à l’OM en enfilant les buts. Lui, l’a toujours eu en tout cas. Et ce dès son plus jeune âge, avec sa cravate et son nœud papillon.
Loïc Rémy n’a pas changé. De son enfance à Rillieux-la-Pape, dans la banlieue lyonnaise, à Marseille, aujourd’hui, l’attaquant de l’OM a conservé son élégance naturelle et sa bonne humeur. En plus d’être performant sur les terrains, « Bichon », comme le surnomme sa famille, ou « Patte folle », le sobriquet de ses coéquipiers, dégage une simplicité plutôt rare dans le milieu qui fait plaisir à voir. Le reportage qui lui a été consacré hier dans Téléfoot est pour le moins sympathique, rempli d’anecdotes toutes aussi savoureuses les unes que les autres.
Le nœud papillon et la cravate On peut ainsi le voir à l’école primaire, sortant déjà du lot avec son nœud papillon et sa cravate sur les photos de classe (voir ci-dessous). « Il fallait que je sois beau gosse pour aller à l’école, sourit Loïc Rémy en voyant les images. C’était mon petit nœud papillon, ma cravate, à cet âge-là il fallait déjà être bien sapé. C’était mon petit caprice, oué. » Sa mère, Maryse, ne peut pas en dire le contraire : « Si un jour j’étais à la bourre et que je n’avais pas le temps de lui mettre son nœud papillon, il pleurait. Il ne voulait pas partir : ‘’Je veux mon nœud papillon. Maman, s’il te plaît’’ »