Real Madrid - Malaise : Daniel Riolo défend Noël Le Graët dans l’affaire Benzema !
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

Alors que l’absence de Karim Benzema en équipe de France fait encore débat, Daniel Riolo est revenu sur les dernières déclarations de Noël Le Graët, et assure que le président de la FFF n'a rien contre l’attaquant madrilène, loin de là...

Quatre ans après la dernière apparition de KarimBenzema sous le maillot bleu, l’attaquant du RealMadrid fait encore l’objet de nombreux débats, mais cela ne devrait pas faire avancer grand-chose. En effet, DidierDeschamps ne devrait pas revenir sur sa décision, d’autant que Noël Le Graëta fermé les portes de l’équipe nationale au joueur de 31 ans. « Benzema est un très bon joueur, je n’ai jamais critiqué ses qualités. Il montre encore cette année avec le Real Madrid qu’il est l’un des meilleurs joueurs à son poste. Mais l’aventure France est terminée », avait déclaré le président de la FFF samedi. Une sortie qui a fait du bruit, mais DanielRiolo assure pourtant que NoëlLeGraët est un grand fan de l’ancien Lyonnais.

« Noël Le Graët aime beaucoup Benzema »

« Il faut le savoir, Le Graët est au départ un fan de Benzema. Il l’a toujours voulu et défendu en tant qu’homme et joueur. Il l’a fait devant moi dans son bureau. J’étais assis face à lui et on parlait de cela. Il avait l’image de Benzema post-Ukraine (match remporté par les Bleus 3-0, après avoir perdu le match aller 2-0, NDLR). Et il disait à quel point il aimait beaucoup ce joueur. Je suis obligé de défendre Le Graët, moi qui ne le fais jamais car je n’aime pas sa politique, mais là franchement je suis obligé de dire la vérité parce que je le sais, il aime beaucoup Benzema. Après il s’est rangé derrière son sélectionneur et fait front avec lui. (…) Moi, je n’ai jamais compris qu’il voulait dire "je suis le président et je dis que l’autre ne va jamais revenir", genre je me mêle de ce qui ne me regarde pas. (…) Il a juste relayé le message, un peu maladroitement, de Didier Deschamps », a confié le journaliste de RMC dans l’After Foot.

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