En l’absence de Sergio Ramos, le Real Madrid a eu toutes les peines du monde à conserver son avance contre la Juventus comme le constate Pierre Ménès.
Contre la Juventus, le Real Madrid est passé proche de la catastrophe. Largement vainqueurs à Turin (3-0), les Merengue se sont fait rejoindre au score après seulement une heure de jeu au match retour à Santiago Bernabeu. Finalement, la Casa Blanca s’en remettra à Cristiano Ronaldo qui transformera un penalty dans les arrêts de jeu (1-3). Mais pour Pierre Ménès, cette rencontre a surtout mis en lumière l’importance de Sergio Ramos, suspendu pour l’occasion.
« Quand Sergio Ramos n’est pas là, ce n’est pas la même équipe »
« La Louve a battu une équipe de Barcelone complètement hors sujet. Les Romains ont fait un match exceptionnel d’abnégation, de courage et de détermination. Comme les Turinois à Madrid, qui auraient mérité de connaître le même dénouement. Petite parenthèse concernant le Real : quand Sergio Ramos n’est pas là, ce n’est pas la même équipe. Ni le même Raphaël Varane… Malheureusement pour la Vieille Dame, tout a basculé dans les arrêts de jeu sur un penalty. Justifié, avec Mehdi Benatia qui percute Lucas Vazquez. Mais ça n’empêche pas que c’est hypercruel au regard de la prestation de la Juve », écrit le journaliste sur sa chronique pour CNEWS.