Manchester City - Touré : « À Barcelone, Xavi, Messi et Eto’o ont pris toute la lumière »
La rédaction

Yaya Touré est revenu sur ses trois années sous les couleurs du FC Barcelone. Malgré la suprématie catalane, l’Ivoirien a confié qu’il y régnait une tension particulière… De 2007 à 2010, Yaya Touré a tout gagné sous les couleurs du FC Barcelone. Une Ligue des Champions, deux championnats d’Espagne, une Coupe du Roi, une Coupe du Monde des clubs, une Supercoupe de l’UEFA et une Supercoupe d’Espagne, assortis de deux élections comme meilleur joueur ivoirien de l’année en 2008 et 2009. Malgré cette réussite, l’actuel milieu défensif de Manchester City a confié qu’une tension palpable régnait en Catalogne. L’international ivoirien regrette que toute la lumière de cette réussite ait principalement été projetée sur les joueurs offensifs et décisifs comme ont pu l’être Xavi, Messi, Iniesta ou encore Eto’o.

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« AVEC INIESTA, XAVI, MESSI, ETO’O, C’ÉTAIT MAGIQUE » « Pour être honnête, j’ai trouvé ce manque de reconnaissance un peu injuste, surtout quand j’étais à Barcelone. À cette époque-là, certes, j’étais entouré de grands joueurs. Mais je crois que j’avais moi aussi réussi à me hisser à leur niveau. La saison où on a gagné nos six titres (2008-2009, ndlr), franchement, avec Iniesta, Xavi, Messi, Eto’o, c’était magique ! Malheureusement, beaucoup n’ont vu à cette époque-là que ceux qui étaient devant. Ils ont pris toute la lumière » a déclaré Yaya Touré dans les colonnes de . « ILS N’AVAIENT PAS BESOIN DE MOI » Le Citizen a avoué qu’il aurait aimé continuer son aventure avec le FC Barcelone, en compagnie des stars catalanes, pour s’offrir de nombreux trophées. « Et puis on a fini par casser cette équipe-là, car des tensions se sont créées. C’est dommage, car je crois qu’on aurait pu gagner beaucoup plus de titres, si on était tous restés ensemble trois ou quatre ans encore. Mon "malheur" a été de ne fréquenter de grands joueurs et de devoir me mettre à leur service. Toute ma carrière, j’ai dû jouer les boucliers pour Messi, Henry, Eto’o… Et ils étaient si forts que souvent ils n’avaient pas besoin de moi. »

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