Dans un entretien accordé au Figaro, l'ex-capitaine des Bleus règle ses comptes avec ses accusateurs. Thuram, "le bus de la honte", Domenech, Anelka, son rôle de capitaine, aucun sujet n'est épargné.
Dans les colonnes du Figaro, le mancunien s'est dit "surpris" de sa convocation prochaine devant la commission de discipline rappelant que "la sanction de ne pas sélectionner les 23 mondialistes pour le match contre la Norvège est cohérente." Il est aussi revenu sur les déclarations de Lilian Thuram a son égard qu'il n'a visiblement pas apprécié du tout. Florilège de l'interview.
"Domenech m'a demandé pardon de m'avoir confié le brassard"
"Dans notre bunker de Knysna, nous vivions dans une bulle"
"Plus de dialogue avec le coach"
"Boghossian a suggéré qu'avec d'autres cadres (...) qu'on lui demande de présenter des excuses publiques" parlant d'Anelka, ce qu'il a fait auprès du staff et de ses partenaires mais pas dans les médias comme l'attaquant de Chelsea souhaitait porter plainte contre l'Equipe.
"Il (Anelka) a voulu partir" après le match amical contre la Tunisie.
"Domenech a décidé de le lire lui-même", le communiqué des joueurs qui signalait leur intention de faire grève.
"Domenech a décidé tout seul de couper la tête de Gourcuff"
"Les premiers responsables sont toujours sur le terrain"
"Mon rôle était d'entretenir la flamme"
"Je ne vois pas mon avenir sans l'équipe de France"
"La Marseillaise me fait vibrer"
La réponse incisive à Thuram
"Il a sali mon nom sans chercher à savoir ce qu'il s'était passé"
"Il se comporte comme le leader du foot français"
"Il ne suffit pas de se balader avec des livres sur l'esclavage, des lunettes et un chapeau pour devenir Malcolm X"
"Thuram avait refusé de s'échauffer avant le match décisif contre l'Italie lors de l'Euro 2008 "