Coupe du monde Brésil 2014 : Pierre Ménès évoque un complot arbitral
La rédaction

Alors que le match d’ouverture de la Coupe du monde entre le Brésil et la Croatie fait déjà couler beaucoup d’encre, Pierre Ménès n’a pas hésité à monter au créneau. Et le journaliste semble avoir de sérieux doutes sur la neutralité de l’arbitrage…

Monsieur Nishimura, arbitre inconnu du grand public mondial avant ce Brésil-Croatie de jeudi soir (3-1), fait déjà beaucoup parler de lui durant ce match d’ouverture de la Coupe du monde 2014. En sifflant un penalty imaginaire sur Fred (71e) et en refusant un but aux Croates pour une faute litigieuse sur Julio César, l’homme en noir a fait l’objet de nombreuses critiques ces dernières heures. Et Pierre Ménès n’est pas passé à côté sur son blog officiel…

« DEUX DÉCISIONS SCANDALEUSES »

« Ça fait des semaines qu’on nous rabâche que le climat social au Brésil est hyper tendu et que le pays a besoin, pour la tranquillité de tous, que la Seleçao soit forte… Des consignes dans ce sens auraient été données à l’arbitre de ce match d’ouverture que ça n’étonnerait pas grand monde. Monsieur Nishimura a pris deux décisions assez scandaleuses en seconde période qui ont fait basculer un match que les Brésiliens n’ont jamais eu en main », explique Pierre Ménès, qui n’exclut donc pas la théorie de la corruption autour de cette rencontre.

« CE MATCH LAISSE UN GOÛT AMER »

« La simulation de Fred sur son ancien coéquipier lyonnais Lovren, même à vitesse réelle, on voit que c’est une arnaque. Et l’arbitre qui vient faire le nerveux et mettre un carton à Lovren, non mais franchement… Au final, ce match d’ouverture me laisse un goût amer et nourrit même mon inquiétude pour la suite de la compétition (…) Deux décisions extrêmement douteuses - pour rester poli - ajoutées à la prestation consternante de Pletikosa - qui met à peu près un an et demi à se coucher sur la frappe écrasée de Neymar et au moins autant sur le pointu tout mou et à l’extérieur de la surface d’Oscar - qui donnent une victoire ample à un Brésil qui a pourtant raté son match dans le contenu », poursuit Pierre Ménès.

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