Impressionnant lors de l’ascension de Pena Cabarga, Chris Horner est revenu à trois secondes du leader de la Vuelta, Vincenzo Nibali. Dans des propos rapportés par L’Equipe, le coureur de RadioShack a fait part de ses sensations : « En 2005, quand je courais pour Saunier Duval, j’ai vécu dans un appartement de Santander pendant six semaines. Heureusement, je n’avais jamais grimpé Pena Cabarga, c’est dur ! Mais aujourd’hui, je n’ai jamais été dans le rouge, j’étais facile. J’avais des jambes fantastiques. J’aurais préféré que ce soit un ou deux kilomètres plus long. Ce n’était pas aussi long que ce que j’imaginais. »
Cyclisme - Vuelta - Horner : « J’avais des jambes fantastiques »