La mort de Simoncelli ravage l’Italie
La rédaction

La presse italienne rend un hommage appuyé à Marco Simoncelli, Pep Guardiola qui réconforte Leo Messi et le cauchemar d’Alex Ferguson… Toute l’actu étrangère est dans la revue de presse. 

ESPAGNE

TE ECHAREMOS DE MENOS

L’Espagne, grande amatrice de sports mécaniques, est sous le choc après la mort de Marco Simoncelli. Marca rend hommage au pilote italien en lui accordant sa Une. Le quotidien met aussi en avant l’étonnant leader de la Liga, Levante.

CRISTIANO, 11 HAT-TRICK

As laisse, lui, le football en pleine page. La mort de Marco Simoncelli est occultée par le 11e triplé de Cristiano Ronaldo ce week-end. Même Levante, étonnant leader, a du mal à faire parler de lui en Une.

TRANQUILO, LEO ERES EL MEJOR

Comme Marca, Sport publie la photo du choc mortel de Marco Simoncelli avec Valentino Rossi et Colin Edwards. Mais le quotidien met avant son information. Selon lui, Pep Guardiola s’est empressé de réconforter Leo Messi après son penalty raté face au FC Séville. « Tu es le meilleur » lui aurait dit son entraîneur.

ITALIE

1987-2011 SIC

En Italie évidemment, l’émotion est immense suite au décès de Marco Simoncelli. La Gazzetta dello Sport lui consacre une Une tout en sobriété. Le quotidien évoque aussi l’incroyable victoire du Milan AC grâce à Boateng à Lecce alors que les Lombards étaient menés 3-0.

CIAO GRANDE MARCO

Le Corriere dello Sport relate la détresse de Valentino Rossi qui a percuté Marco Simoncelli lors de son accident fatal. Un drame d’autant plus grand pour « Le Docteur » que Simoncelli faisait partie de ses meilleurs amis sur le circuit.

ALLEMAGNE

BAYERN, DAS WAR’S MIT DEM DURCHMARSCH

En Allemagne, la défaite houleuse du Bayern Munich à Hanovre est relatée dans les pages sport. Le journal décrypte également le but de Farfan avec Schalke 04 après un raid solitaire de 77 mètres !

ROYAUME-UNI

FERGIE’S « WORST DAY »

Le Guardian place en haut de sa Une Mario Balotelli, acteur principal de l’incroyable victoire de City à United (1-6). Un moment qui restera « le plus mauvais jour » de Sir Alex Ferguson en tant qu’entraîneur.