Après la course de Sotchi le week-end dernier, Nico Rosberg a eu l’honneur de discuter avec le président russe, Vladimir Poutine. L’Allemand revient sur cette rencontre.
Auréolé de sa quatrième victoire en quatre courses cette saison, la septième de suite, Nico Rosberg s’affiche plus que jamais en tête du classement des pilotes, loin devant son coéquipier chez Mercedes et grand rival, Lewis Hamilton. Comme la tradition le veut depuis l’arrivée du Grand Prix de Russie au calendrier, Vladimir Poutine touche chaque année un mot aux pilotes sur le podium et dans la cool room. Le pilote allemand s’est donc afféré à la tache.
« Poutine m’a félicité »
Si Nico Rosberg n’a pas semblé impressionné par la carrure de l’un des hommes les plus puissants au monde, un détail l’a fait tiquer. Comme le fils de Keke Rosberg l’a narré dans les colonnes de Bild, ne pas utiliser la langue de Goethe l’a étonné : « Il m’a félicité, mais j’ai été un peu surpris qu’il ne se soit pas adressé à moi en allemand, car son allemand est très bon, n’est-ce pas ' ». En effet, l’homme politique a travaillé 5 ans en Allemagne pour le KGB.