Taiwo le portrait robot de son successeur a l’OM
La rédaction

S'ils restent discrets sur le remplaçant de Taye Taiwo en fin de saison, les dirigeants de l'OM savent précisément ce qu'ils veulent et ce qu'ils ne veulent pas. La solution interne existe-t-elle ? Pour ne pas dépenser un rond, la solution idéale pour l’Olympique de Marseille serait de piocher au sein même du club. Problème : les talents manquent. En réserve ou au centre de formation, personne ne peut dépanner. «Je ne vois pas de vrai candidat pour le poste, affirme Henri Stambouli, directeur du centre de formation. C’est encore trop tôt».

Plutôt en France ou à l’étranger ?
«En France, des joueurs nous intéressent. Ce serait la solution de facilité mais rien n’est simple dans le foot», peste José Anigo. Les pistes étrangères sont donc creusées à la pelle. «Déjà, on oublie l’Amérique du Sud, poursuit-il. Sur ce dossier, on a donc privilégié une totale ouverture sur l’Europe».

Carte jeune ou vermeil ?
Qu’il soit français ou étranger, le futur latéral gauche de l’OM ne devra pas répondre à des critères d’âge très stricts. Ce qui, a priori, va à rebours de la politique de recrutement mise en place l’été dernier basée sur la jeunesse avec les signatures d’André-Pierre Gignac et Loïc Rémy. «On peut faire une petite entorse à notre philosophie, sourit Anigo. Evidemment, si on peut allier qualité et jeunesse, on ne s’en privera pas. Mais ce n’est pas la priorité».

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