OM : La belle annonce de De Zerbi après la catastrophe !
La rédaction

Roberto De Zerbi a parfaitement lancé son mandat à l’OM avec une large victoire contre Brest (5-1) en début de saison. Mais la fête a été gâchée par la grave blessure de Faris Moumbagna, victime d’une rupture des ligaments croisés. Dans la série Sans jamais rien lâcher, l’attaquant camerounais a raconté cette terrible épreuve… et le soutien fort de son coach.

Pour sa première sur le banc de l’OM, Roberto De Zerbi a réalisé une grande performance en venant à bout de Brest sur le score de 5 buts à 1. Cette belle victoire a pourtant été marquée par la rupture des ligaments croisés de Faris Moumbagna. Une terrible épreuve que le buteur camerounais a racontée dans le premier épisode de la série Sans jamais rien lâcher sur la chaîne YouTube de l’OM.

«Je ne pouvais plus bouger la jambe»

L’attaquant de l’OM explique avoir entendu sa blessure lors du match face à Brest :


« En fait, quand ça se passe, au moment direct, je me dis "là, ça a craqué". Au moment où mon genou entre en contact avec le sol, je ressens comme un "crac" qui a vibré dans tout mon corps, de mes orteils jusqu’à ma tête, et je ne pouvais plus bouger la jambe. J’étais comme paralysé. Après, je me suis dit "c’est mort, c’est fini, je ne pourrai plus rien faire, je ne pourrai plus bouger". Le docteur est arrivé, il m’a demandé si ça allait bien, je n’arrivais pas à entendre ce qu’il disait parce que j’étais dans un autre monde, ça avait craqué complètement. »

«Le coach est venu en premier»

Moumbagna explique également que le coach de l’OM est venu le réconforter, lui annonçant qu’il l’attendrait jusqu’à la fin de sa rééducation :


« À la fin du match, j’étais déjà rentré au vestiaire directement, le coach est venu en premier et il m’a dit, je m’en rappelle : "On va t’attendre Faris, on sait que tu vas revenir fort et on sera tous avec toi". Ensuite, Leo (Balerdi) est venu me voir et il m’a dit "frérot, on sera avec toi tout au long de ta rééducation". J’étais en larmes et il me disait "T’inquiète, ça arrive aux plus forts et on sait que tu vas te relever plus vite". »

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