«Pas le bon moment», il fait capoter son transfert à l’OM
Alexis Poch -
Journaliste
Titulaire d'un Master en journalisme sportif, je suis tombé amoureux du tennis dès l'enfance et j'ai toujours aimé lire les belles histoires de ce sport. Aujourd'hui, je souhaite les raconter, profiter de ma passion à fond et être au plus proche des as du circuit.

Ancien joueur formé à l'OL, Anthony Mounier a arrêté sa carrière il y a quelques mois après avoir passé les dernières années de sa vie de footballeur en Grèce. L'ailier gauche a également joué à Nice et à Montpellier mais à une époque, il aurait pu porter le maillot de l'OM. Mounier en a décidé autrement comme il l'a expliqué.

Professionnel entre 2007 et 2024, Anthony Mounier a eu l'occasion de connaître de nombreux transferts. Joueur de Ligue 1 au début de sa carrière, il a fini par se rendre en Italie avant la Grèce. L'ancien joueur de 37 ans avait la chance de pouvoir signer à l'OM en 2012 lorsqu'il a pris la direction de Montpellier. Un épisode qu'il raconte dans un entretien avec L'Equipe.

Mounier a failli rejoindre l'OM

A la fin de la saison 2011-2012 lorsque Montpellier a fini champion de France, Anthony Mounier a rejoint les Héraultais en provenance de Nice. Le deal était déjà bien parti et l'ailier gauche n'a pas voulu changer d'avis, malgré l'OM. « Un transfert qui a failli se faire ? À Marseille, quand je finis à Nice (2012). Le président de l'OM tombe d'accord avec celui du Gym pour un transfert. Moi, j'avais déjà donné ma parole à Montpellier, que j'étais content de rejoindre. L'OM était dans une situation délicate car il n'y avait pas de coach » explique-t-il à L'Equipe.

« Ce n'était pas le bon moment pour moi d'aller là-bas »

Anthony Mounier confie que l'accord passé avec Montpellier était déjà en bonne voie et que l'option de jouer à l'OM est arrivée sur le tard. « J'avais vécu un premier transfert de Lyon à Nice sur le tard (en 2009) et je ne voulais pas revivre la même chose. Je souhaitais m'engager rapidement dans un club pour attaquer la présaison. Ce n'était pas le bon moment pour moi d'aller là-bas » poursuit le natif d'Aubenas.

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