Mercato : Un «dictateur» signe au PSG, ça ne passe pas !
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Habitué à critiquer Luis Enrique, Daniel Riolo en a rajouté une couche après le cas Ousmane Dembélé, écarté pour raisons disciplinaires. Le journaliste n’hésite pas à estimer que l’entraîneur du PSG est un dictateur, ajoutant qu’il n’est pas fan du numéro 10 français qui était donc absent à Arsenal.

Absent du groupe pour affronter Arsenal, Ousmane Dembélé a été écarté pour raison disciplinaire comme l'a confirmé Luis Enrique en conférence de presse. Le PSG s'est donc privé de son numéro 10 et Daniel Riolo en profite pour charger l'entraîneur parisien qu'il qualifie de dictateur.

«J’avais dit que Luis Enrique n’était pas fan de Dembélé»

« L’année dernière, j’avais dit que Luis Enrique n’était pas fan de Dembélé et que s’il y avait eu un moyen de le faire partir, il le ferait… Dembélé n’est pas vraiment un joueur type Luis Enrique et ça ne le sera jamais. Quand Dembélé rate quelque chose, il suffit de regarder la tronche de Luis Enrique. Ce n’est pas la tronche d’un entraîneur qui applaudit ou qui encourage son joueur, c’est la tronche d’un entraîneur qui est désolé, navré, saoulé par ce genre de ratés. Le jeu de Dembélé ne correspond pas à son football. Luis Enrique, c’est un dictateur. Il aime que les choses soient carrées d’une certaine façon », estime le journaliste de RMC au micro de l’After Foot avant de poursuivre.

«Il a une vision, c’est un dogmatique»

« Il a une vision, c’est un dogmatique. Dembélé n’entre pas dans la case des joueurs qu’il kiffe. Luis Enrique veut un effectif avec ses pions, qu’ils soient bien avec lui. Pour lui, les joueurs ne sont que des pions. Il n’y a pas d’humains face à lui, ce sont des pions. L’embrouille avec Dembélé va durer, parce que ça laissera des traces car avec Luis Enrique, il n’y a pas une tête qui doit dépasser », ajoute Daniel Riolo, qui n’est visiblement pas fan de Luis Enrique.

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