Alexsander Ceferin, président de l’UEFA, s’est exprimé sur la situation des clubs ciblés par le fair-play financier, dont le Paris Saint-Germain.
Dans le collimateur de l’UEFA depuis l’arrivée des Qataris, le PSG pourrait une nouvelle fois être exposé à des sanctions. Les contrats signés avec des sponsors, dont celui négocié avec QTA, auraient été surévalués. Octogon, entreprise travaillant avec l’UEFA, aurait ainsi décoté de 50% les contrats du Paris Saint-Germain. Une décision que réfute le club parisien, qui aurait de son côté travaillé avec Nielson, autre agence agrée par l’instance européenne du football, afin de valider le montant des contrats de sponsoring. Nasser Al-Khelaïfi tenterait également de convaincre l’UEFA de sa bonne volonté après l’annonce d’un nouveau contrat signé avec Desports en Asie, de l’ouverture d’un PSG Park à Shanghai et de la vente de Lucas lors du dernier mercato hivernal, en attendant de probables nouveaux départs cet été. Suffisant pour convaincre l’UEFA ? La réponse interviendra d’ici la fin juin 2018, mais Alexsander Ceferin, président de l’UEFA, espère en tout cas que tout ira bien.
« J’espère qu’il n’y a aucun problème »
« La situation du PSG, du Milan AC ou de Galatasaray ? Tout d’abord, il faut dire que les comités qui étudient la situation des clubs sont indépendants. Pour moi, c’est compliqué d’entrer dans cette discussion. Je ne peux pas commenter, mais j’espère qu’il n’y a aucun problème avec ces trois clubs, ou d’autres », commente le président de l’UEFA, dans une interview accordée à Marca.