Le flou entoure encore le projet de l'Américain Frank McCourt. Jean-Michel Aulas sert d'exemple pour plusieurs observateurs...
« Il vaut mieux un investisseur aux poches moins profondes mais qui est là, genre Aulas, qu’un Qatari dont les critères de décision sont largement peu connus. Un club a besoin d’une autorité totale. » Dans les colonnes de La Provence, Christophe Bouchet n'a pas hésité à mentionner Jean-Michel Aulas pour afficher sa préférence. Didier Quillot, président de la LFP, a lui aussi évoqué le président de l'OL.
« Un entrepreneur comme Aulas »
« Il faut voir si McCourt déploie le projet qu’il a présenté, mais c’est un type ambitieux et fortuné. Cela va créer de l’attractivité. En plus, ce n’est pas quelqu’un qui vient pour revendre. Il investit son argent personnel et c’est un entrepreneur un peu comme Jean-Michel Aulas », a confié Quillot il y a quelques jours. Le président lyonnais s'est directement exprimé sur la vente du club : « C'est une bonne chose que des Américains investissent en France. Cela veut dire que le tabou des clubs Français qui ne seraient pas crédibles sur la durée est en train de tomber. »