Mercato - ASSE/LOSC : Christophe Galtier clairement fixé pour une priorité offensive !
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Nicolas De Préville ne devrait pas rester en Ligue 2 la saison prochaine. Le président de Reims a fait le point sur l’avenir de son attaquant.

À l’instar d’AïssaMandi, NicolasDePréville est lui aussi très sollicité du côté de Reims. Auteur de 6 buts en Ligue 1 cette saison, il attirer les convoitises. L’ASSE ou encore le LOSC pourraient notamment lui permettre de continuer à fouler les pelouses françaises. Néanmoins, selon les dernières informations, c’est Toulouse qui tiendrait finalement la corde. Pascal Dupraz serait notamment prêt à s’aligner sur les 5 millions d’euros réclamés par Reims.

« Son rêve ? Jouer en Angleterre »

Et dans des propos accordés à But, Jean-PierreCaillot, le président de Reims a annoncé la couleur pour NicolasDePréville : « On a également un accord avec Nicolas De Préville. Même si on compte sur ce joueur, nous accepterons d’écouter les offres si cela va dans le sens de sa progression sportive. Avec la descente en Ligue 2, cela va à fortiori accélérer les choses. Maintenant il faut qu’on s’y retrouve dans le transfert. Aujourd’hui, on a déjà des propositions de clubs français et étrangers – mais pas encore anglais – aux alentours de 5 M€. Cela veut dire qu’on n’en attend pas moins. Après, si les clubs lui conviennent, tant mieux. Si ce n’est pas le cas, on restera à l’écoute du marché. Nicolas De Préville m’a toujours dit qu’il venait à Reims pour franchir une étape mais que son rêve c’était de jouer en Angleterre. Il reste encore beaucoup de temps et on va attendre un peu que le marché anglais démarre vraiment. On ne se fixe pas de deadline. On n’est pas dans l’obligation de vendre au 30 juin ».

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