Auteur d’un mercato de folie l’été dernier, l’OM a parfaitement réussi son retour aux affaires en Ligue 1 puisque le club tient sa deuxième place au classement derrière le PSG pour le moment. Mais alors que cette première partie de la saison touche à sa fin, les dirigeants marseillais resteront à l’affût cet hiver pour pourquoi pas apporter de nouveaux renforts. Mais attention, il faudra être méticuleux.
A égalité avec l’AS Monaco avant de passer en 2025, l’OM a réussi de la meilleure des manières à renouveler son effectif. Mais le club a encore des idées derrière la tête pour son mercato hivernal. Lionel Charbonnier, ancien gardien de but, a tenu à mettre en garde les dirigeants marseillais sur les réels besoins de l’équipe de recruter en ce moment.
De Zerbi cherche à redynamiser l'attaque de l'OM ! Raspadori en vue pour 20M€, une polyvalence qui pourrait faire la différence ⚽️
— Le 10 Sport OM (@le10sport_om) December 23, 2024
➡️ https://t.co/1F5KSYA8uJ pic.twitter.com/IWTrdzdUND
Recruter, une priorité ?
Bien installé dans cette saison, l’OM confirme depuis le début de la saison son statut d’équipe candidate au podium de Ligue 1. Le club reste malgré tout très attentif pour améliorer un peu plus son effectif si c’est encore possible de trouver de belles opportunités. Mais ce n’est peut-être pas le bon moment. « Recruter au mercato hivernal c’est très compliqué (…) Est ce que l’OM est dans une dynamique où il doit absolument recruter ? J’en suis pas certain… S’ils le font, c’est avec des pincettes » déclare Lionel Charbonnier dans l’After Foot de RMC vendredi dernier.
« Le maître mot, c’est l’équilibre »
L’été dernier, l’OM a mis l’accent sur le secteur offensif pour trouver un bon remplaçant à Pierre-Emerick Aubameyang. Si le contrat n’a pas été parfaitement rempli pour le moment, il ne faut pas plonger dans n’importe quelle possibilité. « Je pense qu’il y a un maître mot aujourd’hui à l’OM dans le recrutement, c’est équilibre ! (…) Si t’as vraiment une opportunité et qu’elle te coûte pas cher, ok (…) Pour moi, s’il y a une vraie opportunité à faire, c’est dans l’axe, derrière » poursuit celui qui est désormais consultant.