L’AS Monaco, qui a perdu la tête de la Ligue 2 au détriment du FC Nantes, doit se retaper ce soir à Louis II devant Nîmes. En interne, d’après L’Equipe, les tensions apparaissent au grand jour.
Un vestiaire scindé en 3 groupes Un peu comme au Paris Saint-Germain en ce début de saison, le vestiaire monégasque serait divisé en trois catégories bien distinctes : les étrangers (16 pays différents), les jeunes Français (la plupart formée au club) et enfin les solitaires, comme Ibrahima Touré ou Lucas Ocampos. Tout ce petit monde vivrait son aventure chacun de son côté.
Ranieri au centre des débats Plusieurs mois après son arrivée au club, Claudio Ranieri est toujours confronté au problème de base : la communication. La barrière de la langue est un vrai obstacle pour le technicien italien, qui est déjà peu disert. Pour faire passer ses messages et les traduire, il se servirait de Gary Coulibaly, ce qui du coup met ce dernier dans un rôle de porte-à-faux.
Les choix de coaching discutés en interne La méthode prônée par Ranieri commence à faire grincer des dents. Visiblement, ses séances d’entraînement sont jugés trop physiques et ses choix de coaching déstabilisent. « Au début, on savait qui allait jouer le match, avoue un joueur sous couvert d’anonymat. Là, l’équipe peut changer la veille ou le matin du match. C’est spécial ».
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