Déjà comparé à Cristiano Ronaldo, Lucas Ocampos, l’attaquant argentin sur lequel a parié l’AS Monaco, n’a pas encore eu le temps de convaincre mais peut compter sur le soutien de David Trezeguet.
Son arrivée est passée assez inaperçu et pourtant, Lucas Ocampos a tout de même coûté près de 11 millions d’euros à l’AS Monaco ! Convaincu que l’attaquant argentin de 18 ans et un futur crack du football mondial, celui que l’on décrit volontiers comme le futur Cristiano Ronaldo (même physique, même poste) est un véritable pari monégasque sur l’avenir. Pour l’heure, celui-ci n’a disputé qu’un match et n’est pas encore prêt pour être aligné en Ligue 2. L’occasion est donc belle d’en savoir un peu plus sur ce joueur qui jouit d’une belle réputation au sien de son ancien club, River Plate. Pour les informations, c’est David Trezeguet qui s’y colle. Les deux hommes ont partagé quelques mois ensemble dans le mythique club argentin.
Une grinta déjà surdéveloppée
C’est d’ailleurs sur les conseils du champion du monde 98 qu’Ocampos a plié bagage pour rejoindre la France. Assez discret sur le personnage, pour l’instant, Trezeguet a décidé d’en brosser un portrait très flatteur dans une longue interview accordée au journal argentin Olé. « A River, avec ce club représente et ce qu’il a traversé, il faut être mentalement très fort, analyse-t-il en préambule. Perdre avec ce maillot est bien plus fort que perdre avec n’importe quel autre maillot. Nous avons un exemple parfait de cet état d’esprit avec Lucas ».
« Lucas force l’admiration »
Au-delà de ses qualités sportives pures, Trezeguet s’attache à dégager ses bonnes dispositions mentales et son état d’esprit. Toujours positif et animé par la fameuse grinta. « Lui, il forçait l’admiration de ses coéquipiers par son implication et sa détermination à jouer, poursuit l’ancien joueur de la Juventus Turin. Il ne se soucie pas de savoir s’il fat les choses bien ou pas, il a cette volonté, cette fraîcheur d’un gamin de 18 ans. A cet âge, il faut faire attention à bien travailler là-dessus, notamment d’un point de vue psychologique ». Pour le moment, donc, c’est plus physiquement qu’Ocampos va devoir travailler pour s’imposer en France.
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