C’est le paradoxe sochalien. Dix-septième de Ligue 1 et en danger, le club doubiste est pourtant redoutable face aux « gros ». Les Lionceaux ont déjà battu cette saison les quatre premiers (Paris, Marseille, Lyon et Saint-Etienne). « Les deux aspects, technique et mental, sont déterminants. Sochaux a du mal face au jeu direct et préfère donc les adversaires huppés, qui jouent vraiment au ballon. Et, forcément, l’envie de se montrer davantage quand les matches sont plus médiatisés influe aussi. Cette inconstance est très frustrante à observer, mais encore plus à vivre ! » , explique l’ex-portier de Sochaux, Teddy Richert, dans les colonnes de L’Equipe.
Richert : « Une inconstance frustrante »