Il reste quatre matchs à Brest pour espérer se sauver. Mais selon Brahim Ferradj il faut rester positif. « La situation est déjà difficile, et tout le monde a intérêt à ce que ça se passe le mieux possible, fin de contrat ou pas. Il y a toujours de la bonne humeur », a-t-il énoncé dans L’Equipe. Même s’il a relaté qu’en réalité le groupe semblait être très atteint. « On l’a vu cette semaine, certains ont commencé à lâcher, à craquer un peu. Mais tant que ce n’est pas encore mort mathématiquement, on y croit tous un peu. »
Ferradj : « Certains ont commencé à lâcher »