Quasiment condamné à la relégation à la trêve, Nancy a parfaitement réagi et est sorti de la zone de rouge.
Avant de recevoir l’OL dimanche, le président Jacques Rousselot s’est exprimé dans les colonnes du Parisien. Fier de la remontée de son équipe, il espère poursuivre sur cette lancée pour rester dans l’élite.
« J’avais imaginé un plan B »
« On vit une aventure fabuleuse. Mais on est superstitieux. On évite du coup de se mettre une pression inutile. Il reste quatre matchs difficiles à négocier. Il faudra en gagner deux pour réussir notre pari. Un résultat dimanche, même un nul, contre Lyon nous placerait dans de bonnes conditions. A la trêve, on était presque morts. J’avais vraiment imaginé un plan B et anticipé une baisse de la masse salariale d’environ 15% pour essayer de combler l’énorme déficit qui se profilait en juin. Aujourd’hui, les joueurs sont en train d’écrire l’une des plus belles pages de l’histoire du club. Ils sont peut-être un peu usés physiquement, mais mentalement ils tiennent le coup. »