Suite aux incidents récents des clubs corses, Frédéric Thiriez a ciblé les problèmes. Le président de la Ligue a assumé hier ses responsabilités mais souhaite du changement comme il l’a confié à L’Equipe : « Je n’accepte pas qu’on dise que la violence est une fatalité en Corse. Pour moi, c’est une terre de football. J’aimerais, si on parle de Bastia, que le Sporting redevienne un grand club, réputé. Aujourd’hui, ce n’est pas le cas ».
« Qu’on ne me parle pas de racisme anti-corse »Le président de la Ligue assure que les clubs corses doivent identifier les fauteurs de trouble mais souhait également que la police puisse agir : « Le reproche que je fais à mes amis corses, c’est qu’ils empêchent la police de faire son travail. Comment se fait-il que la police ne puisse pas entrer dans le stade de Bastia (Furiani) ? Nous ne sommes pas dans un Etat de non-droit. Et qu’on ne me parle pas de racisme anti-corse, parce que c’est trop facile ».