Libre en juin, le milieu de terrain de Valenciennes, Carlos Sanchez, reconnaît des contacts avec des formations italiennes et n’enterre pas la piste de Bordeaux.
Vous êtes en fin de contrat avec Valenciennes, en savez-vous plus au sujet de votre avenir ? Pour l’instant, je n’ai signé avec personne. Je ne sais pas encore ce qu’il va se passer. Je pense beaucoup à mon avenir en ce moment. J’ai des contacts, mais rien n’est encore finalisé. Le problème, c’est que les clubs ne peuvent pas venir me voir en ce moment.
En effet, vous avez pris une lourde sanction de 9 matchs de suspension, ce n’est pas forcément idéal dans cette période… Je continue à m’entraîner normalement avec le club. Je vais faire les trois derniers matchs de la saison avec Valenciennes. Les clubs qui s’intéressent à moi me connaissent déjà bien, ils ont vu mes performances avec Valenciennes et la sélection de Colombie. Mais c’est vrai que cette sanction m’a fait peur, elle n’est vraiment pas arrivée au meilleur moment. Ils pourront me voir sur la fin de la saison, cela ne va pas changer grand-chose.
À priori, vous avez plus de chances de rejoindre un championnat étranger ? Je suis ouvert à tout. Je cherche un club qui peut jouer les premiers rôles pour franchir un cap.
Quels sont vos contacts en ce moment ? C’est vrai que mes contacts sont plus actifs à l’étranger qu’en France. J’ai des pistes en Italie puisqu’il y a eu des approches de l’Udinese et du Genoa. Ce sont de belles pistes, la Serie A est un championnat très intéressant. J’ai des contacts concrets aussi en Allemagne, en Espagne et en Angleterre. Mais aucune décision n’est encore prise. En France, Bordeaux est toujours un peu là. Je ne suis pas inquiet, je pense que je vais trouver une solution dans les semaines qui viennent.