Dans une interview accordée au progrès, Bernard Lacombe est revenu sur les dernières semaines et ses rapports avec Claude Puel. Et ne lui promet pas un avenir sans nuages. Morceaux choisis.
Les joueurs n'en font pas assez « J'ai vu Cris, et d'autres, je leur ai dit : samedi vous devez vous mettre minables… Ils font leur boulot, mais ils doivent faire plus, ce n'est pas : maison travail et retour à la maison ! Ils doivent être encore plus professionnels. » L'objectif à court terme « Il faut être dans les quatre premiers et même les trois premiers à la trêve et finir impérativement premier du groupe en Ligue des champions. On en a largement les moyens. » Sa vision de Jean-Michel Aulas « Franchement, je l'ai rarement vu si énervé. Il a deux challenges, celui de jouer la Ligue des champions, et l'histoire du grand stade qui le tracasse. Il devrait laisser un peu de côté ce dossier, le laisser à d'autres… » Son influence « Je suis les causeries comme d'habitude, celui qui m'interdira d'assister aux causeries n'est pas né. » Le cas Claude Puel « Un bilan, ça se fait plutôt à la trêve. Claude Puel bosse. Je peux dire, vu ce qu'il a subi qu'il est très costaud, on ne lui enlèvera pas ça. » Pas respectueux du passé « Après, il y a des choses… On a beaucoup travaillé avant lui, sept titres d'affilée quand même, on n'est pas resté les bras croisés, il faut qu'il le reconnaisse. »