Dans son édito du jour, Daniel Riolo s’en est une nouvelle fois pris à l’entraîneur du PSG Laurent Blanc, qui bénéficie selon lui de l’indulgence des observateurs.
Le PSG n’avait pas besoin de ça mais l’affaire Cavani/Lavezzi commence à faire grand bruit. Pour Daniel Riolo, la situation a été extrêmement mal gérée par la hiérarchie parisienne qui aurait dû anticiper ces problèmes, mais il n’épargne pas non plus Laurent Blanc qui bénéficie selon lui de l’indulgence des observateurs.
« DU JAMAIS VU UNE TELLE CONNIVENCE »
« Alors, comme d’habitude, Blanc va être lavé de tout. C’est quand même formidable non d’être l’ami de tout le monde ? Les consultants, les experts, ceux-là même qui ont traité Ancelotti de coach de terrain vague, les mêmes qui attendent que Bielsa, Jardim se ramassent, tous défendent "LOLO" ! Du jamais vu une telle connivence. Comment porter un jugement sur un ami ? Qu’on le défende, soit. Mais pas parce que c’est un ami », a-t-il lancé sur RMC.
« BLANC EST APPARU LARGUÉ, PERDU, DÉPASSÉ »
« La réalité, c’est qu’encore une fois, Blanc, seul, isolé, loin de son groupe est apparu largué, perdu, dépassé par les événements et sa fonction… Les responsables, les vrais coupables de cette situation déplorable l’ont toutefois soutenu et lui ont même tendu le carnet de contraventions. "C’est moi qui vais payer les pots cassés à la fin", a-t-il dit. Ça, on l’avait bien compris. Flic ? Mais Blanc n’a jamais eu plus de pouvoir qu’un garde-champêtre. »