PSG : En pleine polémique, Neymar reçoit un message surréaliste du clan Mélenchon
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

S’il s’illustre sur le terrain depuis le début de la saison, Neymar se fait également remarquer en dehors. Le Brésilien n’a pas hésité à prendre position pour l’élection présidentielle de son pays en soutenant Jair Bolsonaro, qui a finalement été battu ce dimanche par Lula. Après cette défaite, la star du PSG a été chambrée par des partisans du président élu, mais également par Manon Aubry, eurodéputée insoumise. 

Alors que les Brésiliens étaient appelés aux urnes pour l’élection présidentielle, Neymar n’a pas hésité à prendre position. La star du PSG a publiquement apporté son soutien à Jair Bolsonaro, le président sortant d’extrême droite. Une position critiquée par beaucoup avant le résultat du second tour ce dimanche. « Neymar a le droit de choisir qui il veut comme président. Je pense qu'il a peur que si je remporte l'élection, je saurai ce que Bolsonaro lui a pardonné (au sujet) de sa dette (en matière) d'impôt sur le revenu. Je pense que c'est pour cela qu'il a peur de moi », avait notamment déclaré Lula

Soutenu par Neymar, Bolsonaro a perdu

Ce dimanche, Lula a remporté l’élection présidentielle de peu avec 50,9 % des voix contre 49,1 % pour Jair Bolsonaro. Les partisans du président élu n’ont pas manqué de chambrer Neymar dans certaines rues brésiliennes, mais également en France. 

« Tu vas devoir payer tes impôts maintenant ! »

Eurodéputée France Insoumise et présidente du groupe de la gauche au Parlement européen, Manon Aubry n’a pas manqué d’interpeller l’attaquant du PSG sur Twitter après la victoire de Lula : « Pas de bol Neymar, tu vas devoir payer tes impôts maintenant ! »

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