PSG : Al-Khelaïfi, Hidalgo… Un énorme coup de pression est lâché pour ce projet de QSI
La rédaction

En marge de la Coupe du monde, un bruit court autour du PSG. En effet, la direction du club de la capitale pourrait décider de quitter le Parc des Princes pour ses matches à domicile, pour potentiellement choisir le Stade de France en tant que nouveau stade. Mais cette information est loin de plaire à tout le monde, à commencer par les ultras parisiens qui se sont exprimés sur les réseaux sociaux.

Dans un communiqué publié ce vendredi sur les réseaux, le Collectif Ultras Paris a pris la parole pour afficher son mécontentement quant à la possibilité de voir le PSG déménager, alors que les dirigeants parisiens cherchent depuis un certain temps à racheter le Parc des Princes, qui appartient à la ville de Paris, sans succès. De quoi tendre les relations entre le PSG et la Mairie.

« La place du PSG est au Parc »

Dans son communiqué, le Collectif Ultras Paris affiche son attachement profond pour le Parc des Princes« Nous n'avons pas vocation à nous immiscer dans les discussions, les négociations et les rapports de force entre le club et la mairie de Paris, mais nous savons une chose : nous nous battrons de toutes nos forces pour que le PSG reste au Parc » peut-on lire.

Un stade mythique

Résident du Parc des Princes depuis 1974, le PSG a disputé un grand nombre de rencontres de légende dans ce stade et c'est un point que le Collectif Ultras Paris avance dans son communiqué : « Est-il utile de convoquer le souvenir du Président Borelli, de Safet Susic, de Raï, de Valdo, des grands exploits comme des défaites cruelles, pour se convaincre que notre PSG et son stade sont viscéralement liés ? »

Le CUP tacle la Mairie

Propriétaire du stade, la mairie de Paris n'a pas vraiment une place haute dans le cœur des membres du collectif d'ultras. « Nous n'avons de notre côté, jamais considéré cette mairie comme un partenaire sincère du club ni comme un soutien de ses amoureux » peut-on lire, même s'il voudrait bien qu'elle fasse en sorte « que le "naming" ne soit jamais à l'ordre du jour ».

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