Sauf énorme surprise, Leonardo quittera le club de la capitale à l’issue de la saison avec l’envie de vivre une nouvelle expérience mais surtout parce qu’on lui montre la porte de sortie. Voici quelques-uns des péchés que lui reprochent les propriétaires qataris.
La paresse : Lugano Paris était à la recherche d’un défenseur central, Leonardo a regardé dans ses vieilles fiches pour sortir le nom de Lugano plutôt que de prendre le temps de trouver une meilleure solution. Résultat : un fiasco !
L’orgueil : Un marché des transferts en solo Les propriétaires qataris ont fait venir Leonardo pour profiter de sa crédibilité et attirer des joueurs de premier plan. Mais ils ne lui ont pas fait un chèque en blanc. Fins connaisseurs de football, les propriétaires du club avaient déjà une petite idée des joueurs qu’ils voulaient voir débarquer à Paris. Certains choix se sont révélés judicieux, d’autres beaucoup moins.
La luxure : Ancelotti Dès son arrivée, Leonardo a tout fait pour convaincre Ancelotti de venir travailler avec lui. Comme le 10 Sport l’avait alors révélé, le Brésilien a rencontré le technicien italien dès le début du mois de novembre et c’est à cette époque qu’il a scellé un accord avec lui. Son amour pour Ancelotti a dépassé la raison.
La gourmandise : 42 millions pour Pastore De l’avis de nombreux observateurs, le Paris Saint-Germain a payé beaucoup trop cher pour s’offrir les services de Javier Pastore. « Leonardo paye sa méconnaissance du championnat de France, nous a déclaré un agent. Pastore est un très bon joueur pour l’Espagne ou l’Italie, pas pour la L1. On paye 42 millions pour un joueur abouti, pas pour un espoir ».
La colère : Antoine Kombouaré Durant ses six mois sous contrôle qatari, Antoine Kombouaré n’aura pas eu une minute de répit. Dès l’arrivée de Leonardo, on lui prévoyait la porte. Il aura mis six mois à la prendre. Le temps qu’il aura fallu en fait à Leonardo pour caler l’arrivée de son successeur.
L’envie : Pato, Tevez, Damiao… aucun grand attaquant cet hiver Leonardo avait une mission cet hiver : attirer un grand attaquant à Paris. Pour assouvir son envie, il était prêt à tout et a lancé toutes les pistes possibles. Pato, Tevez, Leandro Damiao… tous les dossiers ont été creusés. En vain.
L’avarice : Un règne sans partage « Il ne pense qu’à sa gueule. Il est proche des gens qui peuvent lui apporter des choses sur l’instant mais oublie très vite ceux qui ont fait beaucoup pour lui ». Ce constat est dressé par ancien proche de Leonardo. Nombreux sont ceux qui ont fréquenté le Brésilien et qui se plaignent de son attitude.
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