Qu’on l’aime ou qu’on le déteste, Zlatan Ibrahimovic ne laisse personne insensible. Auréolé après son début de saison prolifique, l’attaquant suédois a vécu une petite déconvenue au centre d’entraînement du PSG. Détails.
Après sa défaite face à Rennes à domicile (1-2), samedi, le PSG vit des heures difficiles. En supériorité numérique (11 contre 9 bretons), les hommes de Carlo Ancelotti ont vécu une nouvelle désillusion. En l’absence de Zlatan Ibrahimovic, les Parisiens sont apparus à la peine offensivement. Malgré de nombreuses occasions, personne n’a réussi à endosser le costume de sauveur. Un rôle que le Suédois a souvent eu l’habitude de porter depuis le début de la saison. Ce qui lui avait valu certains passe-droits.
Un traitement de faveur qui crée des jalousies Alors que les dirigeants du club de la capitale ont toujours fermement refusé l’accès à l’entourage des joueurs, l’ancien joueur du Milan AC est par exemple souvent apparu avec sa femme et ses enfants au Camp des Loges. Autre avantage pour Zlatan : sa place de parking au centre d’entraînement du PSG. L’international suédois a pris l’habitude de stationner tout proche de l’entrée, sur des places normalement réservées au staff, pendant que ses partenaires devaient se garer plus loin. Un traitement de faveur pas du tout du goût de certains joueurs parisiens, qui selon Le Parisien créerait des jalousies.
Accès refusé au parking du Camp des Loges Mais voilà que le revers face aux Bretons a changé la donne. Les dirigeants du club de la capitale ont décidé de resserrer la vis et de mettre fin aux passe-droits. Ibra en aurait déjà fait les frais. Toujours selon le quotidien francilien, il y a quelques jours, à la demande de la direction, il se serait vu refuser l’accès du parking. Une décision qui aurait provoqué la colère du géant suédois. Résultat : il aurait laissé son véhicule à l’entrée pendant tout l’entraînement, empêchant du coup toutes les autres voitures de passer. Un premier coup de sang pour la star du club, qui va devoir désormais accepter les mêmes règles de vie que ses partenaires.
Par Thomas Figueiredo