Lors de sa présentation à la presse, Javier Pastore a dû faire face à une centaine de journalistes, la plupart étrangers. L'Argentin a complimenté le PSG et la Ligue 1 qu'il voit comme un grand championnat.
On commence à mieux cerner le personnage Javier Pastore. Il faudra ainsi sans doute s’assoir sur les déclarations chocs. Pour sa première conférence de presse, l’Argentin est resté très sobre. Voici les meilleurs extraits.
Venir en Ligue 1, un pas en arrière dans ta carrière ? Absolument pas, la Ligue 1 va bientôt pouvoir rivaliser avec les championnats anglais, espagnols et italiens. Elle va gagner en jeu et en spectacle.
Un mot sur Paris et le PSG… Je suis heureux d’être ici, d’avoir signé pour le PSG. Paris est une ville magnifique, un club important à l’échelle mondiale. Je suis venu pour gagner des titres. Je n’ai pas eu le bonheur de gagner des titres importants jusqu’ici.
Je suis content d’avoir été accueilli par un groupe compétitif, pétri de talents surtout dans le secteur offensif. Si on répond au défi physique, on fera la différence. Derrière, on est assez costauds. On a tout pour jouer les toutes premières places de cette Ligue 1.
Quelle est ta position préférée sur le terrain ? Je n’ai pas encore parlé tactique. J’ai été très bien reçu par le club et Antoine Kombouaré. J’attends d’être au niveau physique pour rendre service. Je suis plus habitué à jouer avec deux attaquants devant moi mais ce n’est pas une obligation. Je peux aussi tourner autour d’un attaquant.
Quand pourra-t-on te voir sur le terrain ? Je vais poursuivre un travail physique intense. Je ferai un bilan la semaine prochaine avec le préparateur physique pour voir si je peux être mis à la disposition de l’équipe.
Quelle importance a eu Leonardo dans ta venue ? Leonardo a eu des mots très convaincants et le projet en lui-même l’est aussi. Cela a fait pencher la balance avec le niveau des joueurs, la jeunesse de l’équipe et l’ambition du club. Paris, c’est le bon choix.
Le montant de son transfert (42 millions), une pression énorme ? Je n’y pense pas trop. Il s’agit d’un accord entre clubs. Je tape dans le ballon depuis l’âge de 9 ans, je prends du plaisir en jouant.