Ouaddou a oublie son ours
La rédaction

Règlement de compte à Nancy. Abdeslam Ouaddou a dézingué son propre entraîneur Pablo Correa sur sa manière de s'exprimer. C'est l'hôpital qui se fout de la charité.Abdeslam Ouaddou n’y est pas allé par quatre chemins pour exprimer sa colère. Une cible, huit phrases : «La situation de Nancy est catastrophique. Tous les ans, Correa promet du jeu et chaque année, il bétonne. Il n'a plus d'idées. Ses entraînements sont toujours les mêmes. Il faut qu'il laisse la place. Je ne sais pas à quoi il s’accroche. Le président Rousselot le protège car il le considère comme son fils spirituel, donc il ne peut pas le changer comme ça. Mais son message ne passe plus, Correa ne parle pas bien français et les joueurs ne le comprennent pas», a indiqué le défenseur marocain sur RMC.

Il y a cinq ans... Ce qui est le plus drôle dans toute cette histoire, c’est que Ouaddou parle ose se moquer du français approximatif de son entraîneur. Il y a cinq ans, c’était pourtant bien lui qui avait revisité l’expression «il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué» en un mythique «il ne faut pas brûler la peau de l'ours avant de l'avoir vendue».

Ouaddou se rappelle son grand moment de littérature :