Le club azuréen, avant-dernier de Ligue 1, est une des grosses déceptions du début de saison. Et les critiques, désormais, fusent.
Xavier Gravelaine, un de nos chroniqueurs, nous confiait récemment dans le10sport Hebdo que Nice avait mal digéré le départ de Frédéric Antonetti. Il ne s'était pas trompé. Quatre points en six matches, autant dire que le bilan a tout de catastrophique. Et du coup, les langues se délient. Dans l'Equipe, Gilbert Stellardo a remis en cause publiquement la politique de recrutement des Aiglons, menée par Maurice Cohen, le président. «On veut changer certaines choses et, pour moi, ça ne passe pas forcément par un changement d'hommes. Mais il faut analyser ce qui s'est passé au niveau des transferts. Pourquoi avons-nous acheté plusieurs défenseurs qui sont tous remplaçants (Cantareil, Quartey, Mabiala) ? Pourquoi a-t-on tellement insisté pour garder Loïc Rémy alors qu'on nous proposait un prix intéressant ? La venue d'Anthony Mounier était-elle une priorité alors qu'on a six attaquants ? Qui nous a amenés là ?»