Olivier Giroud, qui caracole toujours en tête du classement des buteurs de la Ligue 1 avec Montpellier, a pourtant pris cher lorsqu’il était encore enfant. Sa mère ne l’a pas épargné.
Olivier Giroud, c’est une gueule d’ange dotée d’un professionnalisme exemplaire et d’une efficacité impressionnante devant les cages. Le « chouchou » de Louis Nicollin est le symbole vivant de l’excellente saison de Montpellier en Ligue 1. Ses 15 buts valident son rayonnement. Pourtant, tout n’a pas toujours été aussi rose dans sa vie.
Groquik va être content
Giroud, qui a fait l’unanimité partout où il a posé ses valises (Grenoble, Istres, Tours), s’est vu affublé de surnoms divers et variés. Lionel Mallein, son coéquipier à Grenoble, nous apprend dans L’Equipe qu’il était surnommé « Ma Gueule » ou « Le Collègue » à l'époque. Ca passe encore. Non le pire, c’est quand même le sobriquet dégoté par sa propre mère. Voyant que son rejeton pensait pouvoir avaler le temps et tout faire dans la précipitation, elle décida de l’appeler « Nesquik » ! Groquik, célèbre mascotte de la poudre chocolatée, claque quand même moins que lui.