Le onze bidon de L'Equipe
La rédaction

Comme à chaque journée de Ligue 1, le10Sport.com recueille les plus mauvaises notes attribuées par le quotidien sportif pour désigner ceux qui n’auraient pas dû jouer lors de la 35e journée.

Le onze bidon de la 35e journée : Nicolas Penneteau (Valenciennes, 3) – Yassin Mikari (Sochaux, 3), Joël Sami (Sochaux, 3), John Boye (Rennes, 3), Jérémy Morel (Marseille, 4) – Yohan Mollo (Nancy, 3), Johan Cavalli (Ajaccio, 3), Yoann Gourcuff (Lyon, 4), Younes Belhanda (Montpellier, 4) – Franck Dja Djédjé (Nice, 3), Mbaye Niang (Caen, 3).

L’entraîneur bidon de la 35e journée : Corentin Martins (Brest) On attend toujours l’effet Corentin Martins… Brest n’a pas perdu, certes, a même bien joué hier soir contre Toulouse (0-0), mais Brest n’a toujours pas gagné et marqué le moindre but depuis la nomination de Martins en remplacement de Dupont. Sur une tête de Rivière dans les arrêts de jeu, parfaitement détournée par Elana, Toulouse aurait même pu réaliser le hold-up. Deux matchs, un nul, une défaite, zéro but marqué, quatre buts encaissés : le constat est cruel pour l’ancien Strasbourgeois. Ce matin, Brest est 17e. Mais après le Dijon-Auxerre de ce soir, quoi qu’il arrive, Brest sera à nouveau relégable.

L’arbitre bidon de la 35e journée : Olivier Thual (Montpellier-Evian TG) et Saïd Enjimi (PSG-Saint-Etienne) Entre Montpellier et le PSG, la lutte fait rage pour le titre de champion de France. On a encore pu le constater au cours de cette journée, l’écart est tellement infime que cela devrait se jouer sur un petit rien. Une décision arbitrale ? Peut-être. Olivier Thual à Montpellier et Saïd Enjimi à Paris ont en tout cas eu un rôle à jouer. Et ont sifflé dans le sens des deux candidats au titre. Mardi soir, l’égalisation de Giroud en fin de match est entachée d’un hors-jeu de Camara. Dans la foulée, Evian se voit refuser un but pour une position de hors-jeu inexistante de Sagbo. Hier soir, le penalty transformé par Nenê n’a pas lieu d’être. Il est sifflé pour une faute de Marchal sur Ménez, alors que le Parisien, en bout de course, piétine le Stéphanois. Ce serait dommage que l’arbitrage français gâche cette lutte fratricide…