Pascal Feindouno a débarqué à Monaco en fin de mercato. Le Guinéen évoque, sans langue de bois et avec son sourire légendaire, son retour en France. Interview ensoleillée !Pascal, racontes-nous ces dernières heures du mercato et cette arrivée surprise à Monaco... (Rires) J'étais déjà en contact avec Monaco mais ça ne c'était pas fait à cause du changement d'entraîneur. Le dernier jour du mercato, le 31, j'étais à Wigan car le lendemain, je devais jouer un match amical. Mais mon agent était encore en contact avec Monaco. Ils se sont mis d'accord et j'ai donc été directement à l'aéroport sans m'entraîner. Nous sommes arrivés à Nice à 23h45 et j'ai signé à l'aéroport en sortant de l'avion.
Pas trop déçu de ne pas avoir pu découvrir le championnat anglais ? Non. En fait, à Wigan, ils attendaient de me voir jouer pour me proposer quelque chose. Mais vu que j'avais raté le premier match amical car je n'avais pas la lettre de sortie de la fédération du Qatar. Je devais donc attendre le second qui avait lieu le mardi (le lendemain de la fin du mercato hivernal). Mais entre-temps, Monaco est revenu à la charge. Je n'ai pas hésité, c'est un beau challenge.
Feindouno : "Je suis prêt"
Quand seras-tu prêt ? Je suis prêt ! Physiquement, ça va. Je me sens bien. Certains disent que j'ai pris du poids... Ils pensent qu'au Qatar tu t'entraînes, tu manges et tu dors. (rires) Mais c'est faux ! Et je faisais attention !
Comment as-tu senti le groupe à ton arrivée ? Les joueurs sont-ils traumatisés ? Non, pas du tout. On discute beaucoup pour essayer de savoir ce qu'il ne va pas et trouver des solutions. Après, il suffit simplement de gagner un ou deux match pour remonter au classement.
Tu y crois ? Oui ! On se battra jusqu'au bout !
Retrouvez l'intégralité de l'interview de Pascal Feindouno dans le prochain numéro du 10 Sport