20h15 au siège du PSG. On se pincerait presque pour y croire. Dans l’un des bureaux administratifs du PSG, Nicolas Anelka, accompagné de l’un de ses conseillers historiques, signe des documents de sa main droite. En plusieurs exemplaires. Simple contrat d’assurance pour lui permettre de continuer à s’entraîner au Camp des Loges dans les règles ou engagement plus formel ? Les prochaines heures permettront d’en savoir plus…
Carlo Ancelotti n’a jusque-là pas clairement fermé la porte à une possible pige de l’ex-international : « Anelka était mon joueur. Il est aujourd’hui mon ami ». Et s’il redevenait l’un de ses joueurs jusqu’à la fin de la saison ? Ce serait un « Paris » surprenant. Réponse imminente.
Olivier Schwob avec Gary De Jesus, au Parc des Princes