Sur Téléfoot, Cris et Rémy Vercoutre étaient invités à donner quelques anecdotes du vestiaire lyonnais. Lisandro Lopez, Claude Puel et Jérémy Toulalan prennent très cher.Sur Jérémy Toulalan :Cris : «Lui, pour s’habiller, il est vraiment nul !»Rémy Vercoutre : «C’est vraiment, comment dire, le Monsieur de la campagne. En plus, s’il pouvait arrêter avec ses cheveux blancs derrière sur les côtés, ça nous arrangerait !»
Sur Yoann Gourcuff : Rémy Vercoutre : «Ah, le vrai beau gosse du vestiaire. Avec lui, lors des déplacements, on croit qu’on est les Beatles. Il profite de ça, les femmes n’ont d’yeux que pour lui».
Sur Michel Bastos : Cris : «Pour lui parler, même s’il est à côté de toi, il faut l’appeler au téléphone. Il en a toujours deux dans les mains. Avec ses yeux de grenouille !»
Sur Lisandro Lopez : Rémy Vercoutre : «Ah, voilà Barbiche ! Lui, il vit et pense football 24h sur 24h. Tout le temps en fait». Cris : «C’est vrai… c’est notre Conchita».
Sur Bafé Gomis : Rémy Vercoutre : «La classe incarnée. Quand il arrive, le silence se fait dans le vestiaire. Il arrive avec son costume trois pièces, son nœud papillon, ses baskets orange assorties. Il doit passer un sacré bout de temps à se préparer».
Sur Hugo Lloris : Rémy Vercoutre : «C’est quelqu’un de très facile à vivre. Ce matin, je l’ai appelé Huguette. Mais franchement, c’est super dur de le titiller sur lui, sa manière d’être».
Sur Claude Puel : Cris remonte alors son short pour le mettre en dessus de son nombril, prend un air grave et se saisit d’un chronomètre : «Alors, ce matin, c’est à la carte. Tennis ballon, tirs au buts, soins pour lui… Allez, maintenant, on y va».
Sur Cris : Rémy Vercoutre (à qui on montre la photo de Cris avec des cheveux (voir plus bas) : «Ah lala. Je crois qu’on va couper l'interview, on va arrêter là parce que…»