Interrogé dans les colonnes de l’Equipe, le président bordelais, Jean-Louis Triaud a évoqué son ancien avant-centre, aujourd’hui à Arsenal : « On n’allait pas lui mettre un pistolet sur la tempe pour l’obliger à signer et il est faux de dire que l’on s’y est pris au dernier moment. Quand vous vous heurtez à un mur… On comprend mieux, aujourd’hui, à quel point il avait envie d’aller en Angleterre et, de préférence, à Arsenal. Ça fait un an et demi qu’il ne joue plus, il n’est même plus sur les feuilles de match et je n’ai pas lu qu’il tapait à la porte de M. Wenger pour partir. C’est donc qu’il est heureux ».
Bordeaux : Triaud taquin sur le cas Chamakh