Guy Roux, qui œuvre depuis des mois dans les coulisses d’Auxerre, est accusé par certains de la mauvaise ambiance qui a plombé le l’AJA. Aujourd’hui le club est relégué et il règle ses comptes.
Guy Roux a été taxé de beaucoup de maux depuis le début de la saison. Aujourd’hui, l’AJA en paye l’addition. L’administrateur de l’association AJA et délégué à la formation, qui s’est toujours défendu d’avoir une quelconque influence dans le vestiaire icaunais, a choisi de vider son sac dimanche soir.
« Moi, je n'ai que les yeux pour pleurer » « Ça fait sept ans qu’à Auxerre, on a institué le Tout sauf Guy Roux et moi je n’ai que les yeux pour pleurer. Je n’en dirai pas davantage, a-t-il avoué sur Canal+. C’est une lente régression qui arrive au point aujourd’hui. Ça va être dur de s’en remettre car en dehors des erreurs sportives, il y a eu des erreurs dans la gestion du club. Les salaires des joueurs sont élevés, on n’a pas le droit à l’erreur. Moi j’ai des responsabilités au niveau des jeunes et les 17 ans ont gagné leur championnat, les 19 ans vont peut-être faire pareil. Il faut demander à ceux qui ont eu le pouvoir de s’expliquer ». Gérard Bourgoin, son ami, est donc prié de passer à table.