Vente ASSE : Il annonce un projet de folie !
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Passée sous pavillon canadien il y a quelques mois avec le rachat du club par Kilmer Sports, l'ASSE entame toutefois mal son nouveau projet comme en témoigne son début de saison raté en Ligue 1. Cependant, Patrick Guillou n'est pas du tout inquiet, et annonce même du lourd dans les quatre ou cinq prochaines années.

En fin de saison dernière, l'ASSE a enfin accueilli de nouveaux investisseurs qui ont pris la place de Roland Romeyer et Bernard Caïazzo. Il s'agit du groupe canadien Kilmer Sports. Cependant, le début du projet ne répond pas aux attentes puisque les Verts luttent actuellement pour leur maintien en Ligue 1. Mais l'ancien Stéphanois Patrick Guillou n'est pas du tout inquiet pour l'avenir du club du Forez et prédit même un énorme projet dans les prochaines années.

«Il n'y a pas péril dans la demeure»

« C'est très intéressant de voir ce qui est mis en place. Je vous promets qu'au niveau de la communication, c’est un sans-faute pour le moment. Toutes les sorties sont calculées. C'est pour ça que je vous dis, il n'y a pas péril dans la demeure. Les dirigeants ont pris un club, ils pensaient qu'ils allaient prendre le club en Ligue 2 », lance l'ex-Stéphanois au micro de Sainté Night Club, avant de poursuivre.

«Dans 3, 4 ou 5 ans, il va se passer quelque chose de très intéressant»

« D'ailleurs, sur leur tableau de marche, ça aurait peut-être été plus facile de prendre le club en Ligue 2 qu'en Ligue 1. Là, ils ont deux ans d’avance. Dans 3, 4 ou 5 ans, il va se passer quelque chose de très intéressant autour de l'ASSE. Je n'ai pas une boule de cristal, mais vu ce qu'ils sont en train de mettre en place, c'est autre chose au niveau de la stratégie que ce qui a été mis en place ces dernières années », ajoute Patrick Guillou.

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